Bordel et camaïeux de gris. Je me demande ce qu'ils évoquent chez vous, ces mots. Ils décrivent assez justement l'atmosphère dans laquelle je me baigne depuis quelques heures. Je ne m'empêche pas les douceurs, écrire encore une fois ces petits mots élancés, lui faire savoir à nouveau. Ce serait euphémiquement dommage, qu'il en ait marre un jour.
Les nuages pleurent souvent ces derniers temps, et comme le Monde jette un regard glacial sur les maux des nuages, souvent, je me retrouve seule au milieu du bordel. Oh, la friction du Monde avec les nuages ne me dérange pas, elle m'apaise au contraire.
Nous vivons les dernières aubes nuitées, vous savez, celles qui n'en sont plus vraiment. Entre le bleu caerulea, et le bleu nuit, teintées de rose parfois, et ce froid poignant qui vous donne envie de vivre les plus grandes passions, seulement l'instant d'après..! Néanmoins. Ce doit être la candeur infernale de mes jeunes années, mais j'oublie simplement qu'il y a quelque chose ensuite. Ces aubes ont la grâce de l'éternité. Viendront bientôt : les départs en robe légère, le Monde qui s'achève devant nos yeux éblouis. Incapables de voir le possiblement beau, enfermés dans cet instant de latence.
Fichtre, j'ai encore oublié.
Ps : Je parle de l'éternité, parce que je peux en dire ce que je veux : personne ne la connait.
Les nuages pleurent souvent ces derniers temps, et comme le Monde jette un regard glacial sur les maux des nuages, souvent, je me retrouve seule au milieu du bordel. Oh, la friction du Monde avec les nuages ne me dérange pas, elle m'apaise au contraire.
Nous vivons les dernières aubes nuitées, vous savez, celles qui n'en sont plus vraiment. Entre le bleu caerulea, et le bleu nuit, teintées de rose parfois, et ce froid poignant qui vous donne envie de vivre les plus grandes passions, seulement l'instant d'après..! Néanmoins. Ce doit être la candeur infernale de mes jeunes années, mais j'oublie simplement qu'il y a quelque chose ensuite. Ces aubes ont la grâce de l'éternité. Viendront bientôt : les départs en robe légère, le Monde qui s'achève devant nos yeux éblouis. Incapables de voir le possiblement beau, enfermés dans cet instant de latence.
Fichtre, j'ai encore oublié.
Ps : Je parle de l'éternité, parce que je peux en dire ce que je veux : personne ne la connait.