Qu'aura-t-il fallu pour me donner l'envie d'écrire à nouveau ? Lumière. Son. Tino Sehgal même ? Qu'en sais-je. Je suis en moi, que puis-je voir ? Il m'a toujours semblé que les instants les plus inopportuns donnaient les fragments les plus intéressants. Torturée, obsédée. Ma connaissance, si maigre soit-elle me lamine. Que puis-je espérer, désirer ? Un cognac, un peu de fromage. Du blues, un cigare cubain. Vanités, tout n'est que vanités ! Comme disait l'ami Pascal. Terreur. Ne dois-je qu'abaisser bien bas mon chapeau à l'allure d'Albatros ? Fuyez ! Laissez moi en paix. Les poupées tournoient, les veuves se balancent, le vide s'ancre.
Je m'appelle Eugénie, et ceci n'est pas une plaisanterie.
Fin.
Je m'appelle Eugénie, et ceci n'est pas une plaisanterie.
Fin.
Pour moi ,quelques trèves entre les harassantes obligations qui sont incontournables ,et moins de temps à consacrer à publier .Depuis celui sur un homme célèbre et tombé un peu dans l'oubli et qui vécu un temps dans ma région ,P.J de Béranger ,rien ...Sinon une pensée pour quelques êtres ici .
Amicalement.
votre H.