Je dois dire, qu'il faut dire, que parfois nous sommes surpris. Si je m'attendais à cet été, certainement pas. Il est passé à une folle vitesse, et j'ai l'impression de l'avoir occupé. Et pas seulement avec l'imprévu. Ce qui m'étonne d'ailleurs, après tout ça, c'est d'être encore capable de parler de la vie. Je veux dire, des vanités stupides de l'existence, avec autant de joie et de légèreté qu'avant. Je ne veux pas être rabat-joie, c'est simplement que la vie c'est juste le fait d'avoir un coeur qui bat.
Au bout de ces deux mois, je navigue entre trois états : l'angoisse, l'indifférence, et la joie euphorique (non, non, je ne change pas de pays). N'est ce pas le cas de tout le monde ? me direz-vous. Et bien, là est tout le problème. Je me demande où est passée ma légèreté pessimiste. Je suis terriblement vulnérable et à fleur de peau. Alors qu'il est temps d'évoluer, (non, pas de jeter des dés, de voler et de huer, mais bien d'évoluer), le sentimentalisme m'envahit, quelle horreur.
Qu'y puis-je ? Et bien, je peux à coups de missiles psychologiques défoncer les barrières mentales qui se sont insinuées en moi depuis ma naissance. Et, ne me dîtes pas que ça n'est pas si évident, ça l'est, c'est juste que j'ai perdu le chemin. Ca reviendra sans doute, mais quand ? C'est assez drôle pour moi, vous savez, d'écrire ces articles. Je sais que vous ne pouvez imaginer le ton de mes mots. Et, ça c'est vraiment comique.
Il s'avère que je n'ai à cet instant plus rien à dire ici. Alors bonsoir cher(s) lecteur(s).
Ps : Ne soyez pas timide, dîtes moi, quel ton ?
Au bout de ces deux mois, je navigue entre trois états : l'angoisse, l'indifférence, et la joie euphorique (non, non, je ne change pas de pays). N'est ce pas le cas de tout le monde ? me direz-vous. Et bien, là est tout le problème. Je me demande où est passée ma légèreté pessimiste. Je suis terriblement vulnérable et à fleur de peau. Alors qu'il est temps d'évoluer, (non, pas de jeter des dés, de voler et de huer, mais bien d'évoluer), le sentimentalisme m'envahit, quelle horreur.
Qu'y puis-je ? Et bien, je peux à coups de missiles psychologiques défoncer les barrières mentales qui se sont insinuées en moi depuis ma naissance. Et, ne me dîtes pas que ça n'est pas si évident, ça l'est, c'est juste que j'ai perdu le chemin. Ca reviendra sans doute, mais quand ? C'est assez drôle pour moi, vous savez, d'écrire ces articles. Je sais que vous ne pouvez imaginer le ton de mes mots. Et, ça c'est vraiment comique.
Il s'avère que je n'ai à cet instant plus rien à dire ici. Alors bonsoir cher(s) lecteur(s).
Ps : Ne soyez pas timide, dîtes moi, quel ton ?