Ce qui m'exaspère le plus ce doit être cette demi-mesure, cette complaisance dans la médiocrité. Ce qui me dégoute c'est cette connerie, choisie, cultivée comme un rang de tomates. Puis, cette manière de répondre que comme tout le monde est dans le même bateau, il n'y a pas lieu d'en sortir. Je me suis rarement sentie aussi mal, embarrassée de moi même, irritée par ce que je ne sais pas et qui m'aiderait sans doute. Entre deux eaux, incapable de choisir entre dégout et indifférence profonde. Comme tout est vain, ça n'a aucun espèce de sens de haïr les gens, mon inexpérience me conforte dans cette idée. Il y a aussi cette angoisse d'être encore plus seule que je ne le suis déjà. Personne ne sait, parce que ça n'a aucun intérêt de raconter l'incompréhensible. La raison de cette solitude, c'est l'ambiguïté de mes pensées, je me contrefous de tous, sans pour autant les haïr. J'aime la facilité dans laquelle ils me plongent, et étonnement j'en ai besoin.
Lorsque j'entends du Jazz, je sens, je sais que je ne suis pas de maintenant. Je n'étais pas faite pour regarder le monde encastré dans le mur à cause de l'Homme attaché à son individualisme mais sans aucune individualité. Je n'en peux plus. On me détruit chaque jour un peu plus, et peut être que c'est ce que je veux. Je n'en peux plus de cette indécision, qu'ils me détruisent, me fassent les haïr définitivement, ça n'a aucune importance. Mes pensées me sortent par les yeux, je dois savoir. Quoique je fasse, je suis impuissante, rongée. Je devrais partir.
Edit : On finit par se calmer. On saura, c'est une question de réflexions. On ne peut pas stagner.
Je ne veux pas que mon chat meurt (Ah bon ?).
Lorsque j'entends du Jazz, je sens, je sais que je ne suis pas de maintenant. Je n'étais pas faite pour regarder le monde encastré dans le mur à cause de l'Homme attaché à son individualisme mais sans aucune individualité. Je n'en peux plus. On me détruit chaque jour un peu plus, et peut être que c'est ce que je veux. Je n'en peux plus de cette indécision, qu'ils me détruisent, me fassent les haïr définitivement, ça n'a aucune importance. Mes pensées me sortent par les yeux, je dois savoir. Quoique je fasse, je suis impuissante, rongée. Je devrais partir.
Edit : On finit par se calmer. On saura, c'est une question de réflexions. On ne peut pas stagner.
Je ne veux pas que mon chat meurt (Ah bon ?).